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Pratiques sexuelles : où en est-on ?

En matière de vie amoureuse, la sexualité prend une place prépondérante. Pour pimenter sa vie sexuelle, sortir de la routine et retrouver plus de complicité, il existe aujourd’hui de très nombreuses pratiques sexuelles, des plus traditionnelles aux plus originales.

Qu’est-ce qu’une pratique sexuelle ? Quelles sont les pratiques sexuelles les plus tendance ? Que regroupe le terme “BDSM” ? À quoi servent les préliminaires et quels sont les risques ? MEDADOM décrypte le sujet pour vous aider à y voir plus clair et à démêler le vrai du faux.

 

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Qu’est-ce qu’une pratique sexuelle ?

 

Une pratique sexuelle, comme son nom l’indique, s’effectue dans le cadre d’un rapport sexuel. On parle ainsi aussi bien des préliminaires que des positions sexuelles ou d’autres moyens de recourir à l’orgasme comme les jeux, l’utilisation d’objets ou d’une technique spécifique.

 

 

 


Pratiques sexuelles : quelles sont les actuelles et les nouvelles ?

 

À l’heure des réseaux sociaux, les pratiques sexuelles ne cessent d’émerger et de faire de nouveaux adeptes. Si certaines pratiques sexuelles comme le bondage par exemple sont employées depuis de très nombreuses années, d’autres peuvent apparaître et disparaître tout aussi rapidement. Certaines pratiques sexuelles relayées sur les réseaux sociaux peuvent aussi s’avérer dangereuses. Nous pouvons par exemple citer le stealthing, une pratique sexuelle très récente qui consiste à retirer le préservatif pendant un rapport sans obtenir le consentement du partenaire. 

 

 

Le bouboupisme

 

Selon une étude menée par le Journal of Sexual Medicine, 82 % des femmes déclarent ressentir plus de désir lorsque leur partenaire stimule leurs seins. C’est aussi le cas pour les hommes, où près de 52 % d’entre eux disent ressentir le même plaisir. 

Le bouboupisme est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler la zone érogène de la poitrine par divers moyens. Les seins comportent en effet plusieurs millions de terminaisons nerveuses et une peau très fine, permettant d’être stimulée très facilement. 

 

 

La sodomie

 

De plus en plus populaire chez les jeunes, la sodomie consiste à pratiquer un rapport sexuel par l’anus. Auparavant réservée aux personnes homosexuelles, la sodomie est aujourd’hui pratiquée par tous les partenaires sans distinction. 

 

La sodomie peut-être source d’inquiétude chez les partenaires, autant chez les femmes que chez les hommes. Pour pratiquer en toute sécurité la sodomie, il est conseillé de bien communiquer pendant le rapport et d’y aller en douceur. L’hygiène est également importante dans le cadre de cette pratique sexuelle pour éviter tout risque d’infection. 

 

 

L’auralisme

 

Si vous appréciez d’avoir un rapport sexuel en musique ou avec d’autres sons, vous êtes peut-être adepte sans le savoir de l’auralisme, une pratique sexuelle très en vogue. Pour certaines personnes, le fait d’entendre divers sons augmente le désir et l’excitation. L’auralisme est donc une pratique sexuelle qui consiste à stimuler l’ouïe, là où d’autres pratiques sexuelles se concentrent sur d’autres sens comme le toucher ou l’odorat.

 

 

L’axilisme

 

Pratique sexuelle plutôt originale et surprenante au premier abord, l’axilisme consiste à masturber son ou sa partenaire au moyen de ses aisselles par mouvement de frottement. Les aisselles sont en effet une zone érogène au même titre que les seins, la nuque ou encore le lobe de l’oreille. C’est aussi la zone où les phéromones considérées comme des “activateurs de désir” sont synthétisées par l’organisme par l’intermédiaire de la transpiration.

Chez certaines personnes, la zone des aisselles peut être très sensible aux stimulations. L’avantage de l’axilisme est qu’il s’agit également d’une pratique sexuelle sûre, puisqu’il y a peu de risque de transmissions d’infections sexuellement transmissibles par les aisselles.

 

 

Le BDSM

 

Le BDSM est une pratique sexuelle qui est souvent confondue avec le bondage. Le BDSM regroupe plusieurs pratiques différentes. Voici que ce signifie chaque lettre du mot BDSM : 

 

  • B pour bondage ;
  • D pour discipline ;
  • S pour sadisme ;
  • M pour masochisme.

 

Le bondage peut prendre plusieurs formes mais vise principalement à immobiliser de façon plus ou moins importante le partenaire et à réduire la possibilité de mouvements. Plusieurs objets peuvent être utilisés pour parvenir à cet objectif : cordes, rubans, menottes, etc.

Le sadisme et le masochisme, quant à eux visent à infliger une douleur plus ou moins intense à soi-même ou à son partenaire. 

 

Dans le cadre du BDSM, l’accent doit être mis sur la communication entre les partenaires. Ceux-ci doivent en effet définir des limites clairement exprimées avant un rapport pour que cette pratique sexuelle soit réalisée dans un cadre sain, sécurisé et respectueux.

 

 

Le shibari, une pratique sexuelle inspirée du bondage

Inspirée d’un art martial japonais - le Hojojutsu - le shibari est une nouvelle pratique sexuelle proche du bondage. Celle-ci consiste à attacher son partenaire exclusivement avec des cordes. Cette pratique met l’accent sur le côté érotique, mais aussi esthétique et contemplatif. Le but étant de créer un lien intime entre les partenaires et de décupler les émotions avant ou pendant un rapport sexuel. 

 

 

Que sont les préliminaires ?

 En matière de vie amoureuse, la sexualité prend une place prépondérante. Pour pimenter sa vie sexuelle, sortir de la routine et retrouver plus de complicité, il existe aujourd’hui de très nombreuses pratiques sexuelles, des plus traditionnelles aux plus originales.  Qu’est-ce qu’une pratique sexuelle ? Quelles sont les pratiques sexuelles les plus tendance ? Que regroupe le terme “BDSM” ? À quoi servent les préliminaires et quels sont les risques ? MEDADOM décrypte le sujet pour vous aider à y voir plus clair et à démêler le vrai du faux.       Qu’est-ce qu’une pratique sexuelle ?    Une pratique sexuelle, comme son nom l’indique, s’effectue dans le cadre d’un rapport sexuel. On parle ainsi aussi bien des préliminaires que des positions sexuelles ou d’autres moyens de recourir à l’orgasme comme les jeux, l’utilisation d’objets ou d’une technique spécifique.    Pratiques sexuelles : quelles sont les actuelles et les nouvelles ?    À l’heure des réseaux sociaux, les pratiques sexuelles ne cessent d’émerger et de faire de nouveaux adeptes. Si certaines pratiques sexuelles comme le bondage par exemple sont employées depuis de très nombreuses années, d’autres peuvent apparaître et disparaître tout aussi rapidement. Certaines pratiques sexuelles relayées sur les réseaux sociaux peuvent aussi s’avérer dangereuses. Nous pouvons par exemple citer le stealthing, une pratique sexuelle très récente qui consiste à retirer le préservatif pendant un rapport sans obtenir le consentement du partenaire.     Le bouboupisme    Selon une étude menée par le Journal of Sexual Medicine, 82 % des femmes déclarent ressentir plus de désir lorsque leur partenaire stimule leurs seins. C’est aussi le cas pour les hommes, où près de 52 % d’entre eux disent ressentir le même plaisir.   Le bouboupisme est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler la zone érogène de la poitrine par divers moyens. Les seins comportent en effet plusieurs millions de terminaisons nerveuses et une peau très fine, permettant d’être stimulée très facilement.     La sodomie    De plus en plus populaire chez les jeunes, la sodomie consiste à pratiquer un rapport sexuel par l’anus. Auparavant réservée aux personnes homosexuelles, la sodomie est aujourd’hui pratiquée par tous les partenaires sans distinction.   La sodomie peut-être source d’inquiétude chez les partenaires, autant chez les femmes que chez les hommes. Pour pratiquer en toute sécurité la sodomie, il est conseillé de bien communiquer pendant le rapport et d’y aller en douceur. L’hygiène est également importante dans le cadre de cette pratique sexuelle pour éviter tout risque d’infection.     L’auralisme    Si vous appréciez d’avoir un rapport sexuel en musique ou avec d’autres sons, vous êtes peut-être adepte sans le savoir de l’auralisme, une pratique sexuelle très en vogue. Pour certaines personnes, le fait d’entendre divers sons augmente le désir et l’excitation. L’auralisme est donc une pratique sexuelle qui consiste à stimuler l’ouïe, là où d’autres pratiques sexuelles se concentrent sur d’autres sens comme le toucher ou l’odorat.    L’axilisme    Pratique sexuelle plutôt originale et surprenante au premier abord, l’axilisme consiste à masturber son ou sa partenaire au moyen de ses aisselles par mouvement de frottement. Les aisselles sont en effet une zone érogène au même titre que les seins, la nuque ou encore le lobe de l’oreille. C’est aussi la zone où les phéromones considérées comme des “activateurs de désir” sont synthétisées par l’organisme par l’intermédiaire de la transpiration.  Chez certaines personnes, la zone des aisselles peut être très sensible aux stimulations. L’avantage de l’axilisme est qu’il s’agit également d’une pratique sexuelle sûre, puisqu’il y a peu de risque de transmissions d’infections sexuellement transmissibles par les aisselles.    Le BDSM    Le BDSM est une pratique sexuelle qui est souvent confondue avec le bondage. Le BDSM regroupe plusieurs pratiques différentes. Voici que ce signifie chaque lettre du mot BDSM :   B pour bondage  D pour discipline S pour sadisme M pour masochisme.    Le bondage peut prendre plusieurs formes mais vise principalement à immobiliser de façon plus ou moins importante le partenaire et à réduire la possibilité de mouvements. Plusieurs objets peuvent être utilisés pour parvenir à cet objectif : cordes, rubans, menottes, etc.  Le sadisme et le masochisme quant à eux visent à infliger une douleur plus ou moins intense à soi-même ou à son partenaire.   Dans le cadre du BDSM, l’accent doit être mis sur la communication entre les partenaires. Ceux-ci doivent en effet définir des limites clairement exprimées avant un rapport pour que cette pratique sexuelle soit réalisée dans un cadre sain, sécurisé et respectueux.     Le shibari, une pratique sexuelle inspirée du bondage  Inspirée d’un art martial japonais - le Hojojutsu - le shibari est une nouvelle pratique sexuelle proche du bondage. Celle-ci consiste à attacher son partenaire exclusivement avec des cordes. Cette pratique met l’accent sur le côté érotique, mais aussi esthétique et contemplatif. Le but étant de créer un lien intime entre les partenaires et de décupler les émotions avant ou pendant un rapport sexuel.        Que sont les préliminaires ?    Avant le rapport sexuel, les préliminaires restent l’une des pratiques sexuelles les plus appréciées. Et pour cause, elles permettent de faire monter le désir et l’excitation et de renforcer la complicité et le lien qui unit les deux partenaires.   Les préliminaires peuvent prendre plusieurs formes. Du simple baiser aux caresses en passant par un massage ou une stimulation d’une ou plusieurs zones érogènes, toutes les envies sont permises ! Comme pour toute pratique sexuelle, le résultat des préliminaires nécessite une bonne communication entre les partenaires et un échange mutuel afin que les préliminaires soient aussi agréables pour l’un comme pour l’autre.  Les préliminaires sont récemment revenus sur le devant de la scène médiatique avec une vidéo devenue virale sur le réseau social Tiktok baptisée “4-minutes foreplay”. Le concept a été créé par la sexothérapeute Janet Brito. Celle-ci prône l’utilisation d’un timer de 4 minutes entièrement dédiées aux préliminaires. À la fin du chronomètre, les 4 minutes passent au partenaire suivant. Ce concept peut être intéressant à tester pour mieux comprendre l’importance des préliminaires avant un rapport sexuel. C’est aussi une occasion de passer un moment complice avec le partenaire avant l’acte et de renforcer les liens de tendresse et d’amour.    Pourquoi les préliminaires sont-ils importants ?    Souvent écourtés pour passer à l’acte sexuel, les préliminaires restent néanmoins importants dans le cadre d’un rapport sexuel. En effet, en impliquant le toucher et le partage de l’intimité, certaines hormones sont plus facilement produites par l’organisme. C’est le cas de l’ocytocine, l’hormone de l’amour. Selon les spécialistes, les préliminaires devraient idéalement s’étendre sur une vingtaine de minutes. Or, selon les résultats d’une enquête menée récemment aux États-Unis, les préliminaires ne durent qu’une dizaine de minutes pour les femmes et moins d’un quart d’heure pour les hommes.      Au-delà du facteur temps, l’essentiel est que la satisfaction soit au rendez-vous pour les deux partenaires, et que tous deux se sentent prêts à passer (ou non) à l’acte une fois les préliminaires terminés. Notons de plus que les préliminaires aident à la lubrification vaginale et facilitent ensuite la pénétration.       Quels sont les risques des préliminaires ?    Si les préliminaires sont importants, ils comportent également certains risques :   Pendant une fellation, le risque de contamination à une infection sexuellement transmissible et de VIH est bien réel. Pour s’en protéger, il est recommandé d'utiliser de manière systématique un préservatif. Pendant un cunilingus, le risque de transmission d’infections sexuellement transmissibles comme l’hépatite B et C ou la syphilis. Pour s’en prémunir, il est conseillé d’avoir recours à la digue dentaire : il s’agit en un mot d’un petit carré de latex qui s’appose sur la vulve ou l’anus et qui empêche donc un contact direct entre la bouche et les muqueuses. La digue dentaire est un dispositif à usage unique.    Pour limiter tout risque de transmission, il est recommandé en règle générale d’utiliser les moyens de protection adéquats et de se faire dépister régulièrement, surtout en cas de partenaires multiples. Ce dépistage ne remplace pas une consultation régulière chez le gynécologue. Enfin, n’hésitez pas à consulter rapidement en cas de troubles tels que des démangeaisons, des rougeurs, des douleurs ou l’apparition de boutons sur la peau : ces symptômes peuvent cacher une infection sexuellement transmissible qui pourra être détectée puis traitée rapidement avant aggravation.     Besoin d’une consultation avec un médecin ? Découvrez notre plateforme MEDADOM ! Sans rendez-vous, bénéficiez d’une téléconsultation avec l’un de nos médecins partenaires :           Sources :  Femme Actuelle. Quelles maladies peut-on transmettre lors de préliminaires ? https://www.femmeactuelle.fr/sante/sante-pratique/ist-quelles-maladies-peut-on-transmettre-lors-de-preliminaires-2081351

 

Avant le rapport sexuel, les préliminaires restent l’une des pratiques sexuelles les plus appréciées. Et pour cause, elles permettent de faire monter le désir et l’excitation et de renforcer la complicité et le lien qui unit les deux partenaires. 

Les préliminaires peuvent prendre plusieurs formes. Du simple baiser aux caresses en passant par un massage ou une stimulation d’une ou plusieurs zones érogènes, toutes les envies sont permises ! Comme pour toute pratique sexuelle, le résultat des préliminaires nécessite une bonne communication entre les partenaires et un échange mutuel afin que les préliminaires soient aussi agréables pour l’un comme pour l’autre.

 

Les préliminaires sont récemment revenus sur le devant de la scène médiatique avec une vidéo devenue virale sur le réseau social Tiktok baptisée “4-minutes foreplay”. Le concept a été créé par la sexothérapeute Janet Brito. Celle-ci prône l’utilisation d’un timer de 4 minutes entièrement dédiées aux préliminaires. À la fin du chronomètre, les 4 minutes passent au partenaire suivant. Ce concept peut être intéressant à tester pour mieux comprendre l’importance des préliminaires avant un rapport sexuel. C’est aussi une occasion de passer un moment complice avec le partenaire avant l’acte et de renforcer les liens de tendresse et d’amour.

 

 

 

Pourquoi les préliminaires sont-ils importants ?

 

Souvent écourtés pour passer à l’acte sexuel, les préliminaires restent néanmoins importants dans le cadre d’un rapport sexuel. En effet, en impliquant le toucher et le partage de l’intimité, certaines hormones sont plus facilement produites par l’organisme. C’est le cas de l’ocytocine, l’hormone de l’amour. Selon les spécialistes, les préliminaires devraient idéalement s’étendre sur une vingtaine de minutes. Or, selon les résultats d’une enquête menée récemment aux États-Unis, les préliminaires ne durent qu’une dizaine de minutes pour les femmes et moins d’un quart d’heure pour les hommes. 

Au-delà du facteur temps, l’essentiel est que la satisfaction soit au rendez-vous pour les deux partenaires, et que tous deux se sentent prêts à passer (ou non) à l’acte une fois les préliminaires terminés. Notons de plus que les préliminaires aident à la lubrification vaginale et facilitent ensuite la pénétration.

 

 

 

Quels sont les risques des préliminaires ?

 

Si les préliminaires sont importants, ils comportent également certains risques :

 

  • Pendant une fellation, le risque de contamination à une infection sexuellement transmissible et de VIH est bien réel. Pour s’en protéger, il est recommandé d'utiliser de manière systématique un préservatif.

 

  • Pendant un cunilingus, le risque de transmission d’infections sexuellement transmissibles comme l’hépatite B et C ou la syphilis. Pour s’en prémunir, il est conseillé d’avoir recours à la digue dentaire : il s’agit en un mot d’un petit carré de latex qui s’appose sur la vulve ou l’anus et qui empêche donc un contact direct entre la bouche et les muqueuses. La digue dentaire est un dispositif à usage unique.

Pour limiter tout risque de transmission, il est recommandé en règle générale d’utiliser les moyens de protection adéquats et de se faire dépister régulièrement, surtout en cas de partenaires multiples. Ce dépistage ne remplace pas une consultation régulière chez le gynécologue. Enfin, n’hésitez pas à consulter rapidement en cas de troubles tels que des démangeaisons, des rougeurs, des douleurs ou l’apparition de boutons sur la peau : ces symptômes peuvent cacher une infection sexuellement transmissible qui pourra être détectée puis traitée rapidement avant aggravation.

 

 

Besoin d’une consultation avec un médecin ? Pensez à MEDADOM ! Bénéficiez d’une téléconsultation sans rendez-vous avec l’un de nos médecins partenaires : 

 

 



 

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